Avec la dispersion de plus en plus large des moyens de communication dans les entreprises, la surveillance des communications devient un véritable casse-tête. La prévention de la « vraie » fuite de données se complexifie; La surveillance des emails n’est en conséquence pas suffisante si l’on prend en compte les réseaux sociaux et les autres sites de partage d’informations par exemple.
Face à ce challenge, Accenture, dans une de ses récentes études, rapporte justement une série de problématiques opérationnelles comme par exemple dans le cas de l’utilisation d’un systèmes DLP:
Many systems incorporate lexicon screening as part of their Data Loss Prevention (DLP) solution. These systems were put in place primarily to archive emails and, to a lesser extent, to prevent sensitive information from leaving the firm; allowing only rudimentary searches. Many firms have started to use feeds from other data sources, but the prevalent methodology is to flatten these conversations into a normalized email structure that can be viewed and searched by the company’s legacy systems. This approach—which generates a large volume of alerts typically reviewed inside organizational “silos” without sufficient context and knowledge—is both ineffective and cumbersome in our view. Compliance analysts do not always have the detailed knowledge of the business or its products to help spot potentially problematic issues
Face à l’accumulation de nouvelles réglementations en particulier dans le domaine financier, l’explosion de données non structurées et l’extension des canaux de communication, Accenture propose différentes approches pour organiser cette surveillance et à découvrir dans le document ci-dessous :
Cliquer pour accéder à Accenture-Communications-Surveillance.pdf
L’article en relation:
http://fsblog.accenture.com/banking/social-media-one-of-many-new-communications-surveillance-challenges-for-financial-services/