Voici la sélection des actus cybersécurité de la semaine passée pour la Suisse.
Vous retrouvez ci-dessous les liens directs vers les articles les plus intéressants. Pour information, cette veille est préparée avec un vrai cerveau non artificiel, alors bonne lecture et merci de soutenir le Décodeur !
Les actus sélectionnées cette semaine
Des premières cyberattaques ont été constatées en Suisse en lien avec la conférence de Bürgenstock.
Les autorités suisses ont constaté jeudi « comme prévu » les premières cyberattaques liées à l’organisation de la Conférence sur la paix du Bürgenstock ce week-end. « Ces attaques sont du domaine de l’attendu et il n’y a actuellement pas de danger aigu », selon l’Office fédéral de la cybersécurité.
Les États membres de l’UE veulent renforcer la surveillance.
De nombreux pays de l’UE veulent fortement affaiblir le chiffrement de bout en bout. Les services de messagerie devraient être tenus de permettre la surveillance.
Comment Schwyz se protège contre les cyberattaques
Une grande partie du service cantonal de l’informatique est actuellement occupée par la situation de menace autour de la conférence sur l’Ukraine.
La société de cryptographie Zuger Lykke touchée par une cyberattaque.
L’entreprise a suspendu le commerce sur sa plateforme. Lors d’une cyberattaque, des actifs d’une valeur de plus de 22 millions de dollars ont été volés.
Des problèmes informatiques à l’administration fédérale.
Des problèmes informatiques sont survenus jeudi au sein de l’administration fédérale. Les services de la douane ont notamment été touchés. Les déclarations en douane ont été traitées en urgence, selon la Confédération.
Même après la fin de la conférence de haut niveau sur la paix en Ukraine, les attaques par déni de service sur les sites web des organisations impliquées continuent.
Comme prévu, les attaques par déni de service persistent même après la clôture de la conférence de haut niveau sur la paix en Ukraine. Les cibles de ces attaques restent les sites web des organisations impliquées dans la conférence. L’Office fédéral de la cybersécurité surveille la situation et reste en contact avec les organisations concernées.
