Les bio-hackers sont là. Lorsque des biologiste synthétisent de l’ADN, ils évitent d’étaler des tronçons dangereux de code génétique qui pourraient être utilisés pour créer une toxine ou une maladie infectieuse. Mais un groupe de chercheurs a démontré comment l’ADN peut entraîner une menace moins attendue: une conçue non pas pour infecter les humains ou les animaux mais les ordinateurs.
Lors de la conférence USENIX Security à Vancouver (16-17 août 2017), un groupe de chercheurs de l’Université de Washington a montré pour la première fois qu’il est possible d’encoder des logiciels malveillants dans des brins physiques d’ADN. Ainsi, lorsqu’un séquenceur de gènes analyse les données, celles-ci corromptent le logiciel de séquençage et permettent de prendre le contrôle de l’ordinateur sous-jacent.
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A priori, cette découverte ne crée pas de nouvelles menaces immédiates mais on voit que le piratage n’a pas de limite, si ce n’est celle de l’imagination peut-être. A suivre donc.
Biohackers Encoded Malware in a Strand of DNA
Researchers planted a working hacker exploit in a physical strand of DNA.
Hacking a computer using DNA is now a reality, researchers claim
Sci-fi becomes reality as University of Washington lab uses strands of DNA to hack into a computer, but researchers say there’s no cause for concern
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