Comme l’a récemment rappellé le NCSC, une clé USB malveillante peut simuler l’action d’un clavier et générer des frappes prédéfinies pour injecter des commandes malveillantes sur l’ordinateur.
Les clés USB de piratage, que l’on appelle «Rubber Duckies», arrivent à produire plus de 1000 mots par minute. Elles permettent ainsi d’installer des portes dérobées dans le système attaqué, de voler des documents ou des mots de passe, ou encore d’établir des droits étendus sur l’ordinateur.
NCSC
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1 commentaire
Et en plus c’est assez facile de s’en procurer ! il suffit ensuite d’inventer tout un stratagème pour pouvoir brancher la clé sur le PC de la personne qu’on souhaite pirater et de trouver ensuite une façon de pouvoir la retirer discrètement afin de récupérer un maximum d’informations précieuses ! D’ou la nécessité pour un service informatique d’interdire le branchement de périphériques extérieurs sur un équipement professionnel
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