L’actualité a récemment mis en évidence plusieurs soucis de confidentialité de données provoqués par des personnes fortement exposées. Ainsi, après Hillary Clinton, c’est au tour du directeur de la CIA d’être pointé du doigt pour la gestion de ses emails. Le piratage de sa boite email personnel et sa diffusion sur wikileaks démontrent malheureusement encore une fois que le maillon faible reste l’humain:
WikiLeaks released a second instalment of documents from the hacked personal email account of John Brennan, the CIA director, on Thursday, including his contacts' list and a withering report on America’s military strategy in Afghanistan and Pakistan.The stealing of the data has been seen as an embarrassment for the US intelligence community which is already reeling from a series of high profile leaks.
Ce cas démontre à nouveau les limites et les compromis de sécurité à adopter. Une boite de messagerie très sécurisée ne peut prétendre offrir la même expérience en termes d’échanges d’information que Gmail ou d’autres solutions de messageries similaires. A vouloir « trop » sécuriser, la nature humaine reprend le dessus pour retrouver le chemin le plus simple.
Offrez un café pour soutenir cette veille indépendante
☕ Je soutiens DCOD
Pour faire un tour de ce dernier cas:
WikiLeaks release a second batch of documents from email account of John Brennan, CIA director
Latest cache of documents includes his contacts’ list and a scathing assessment of US military strategy in Afghanistan and Pakistan
La menace est bien réelle comme le montre cette nouvelle récidive :
Les jeunes hackers de la CIA récidivent
Ils viennent de publier des informations sur plusieurs milliers d’employés gouvernementaux américains…
💡 Ne manquez plus l'essentiel
Recevez les analyses et tendances cybersécurité directement dans votre boîte mail.
Vous appréciez nos analyses ?
Soutenez DCOD en offrant un café ☕